C'EST SON ANNIVERSAIRE
Jean-Paul Belmondo
Son père, Paul Belmondo, d'origine piémontaise par son père et sicilienne par sa mère, est un sculpteur réputé et sa mère artiste-peintre. Son frère, Alain, est directeur de théâtre et producteur de cinéma et sa sœur, Muriel, danseuse.
Quant à son fils, Paul, il est coureur automobile et possède une écurie de voitures de course.
Biographie
Indiscipliné et peu enclin aux études, Jean-Paul Belmondo se passionne très jeune pour la boxe, le football. À l'âge de seize ans, il est atteint d'une primo-infection de la tuberculose, ses parents l'expédient alors en Auvergne. C'est à cette époque, dans le calme et l'air vivifiant, que le jeune homme décide de devenir comédien. De retour d'Auvergne, il suit les cours de Raymond Girard. Il débute au théâtre en 1950 en interprétant La Belle au Bois Dormant dans les hôpitaux de la ville de Paris. Pendant six mois, Raymond Girard va l'aider à préparer le concours du Conservatoire d'art dramatique, où, reçu en 1951, Jean-Paul Belmondo devient l'élève de Pierre Dux. Il y reste quatre ans et y rencontre Jean Rochefort, Jean-Pierre Marielle, Pierre Vernier et Michel Beaune. Il en est renvoyé à cause de son comportement [réf. nécessaire]. En 1953, il fait ses vrais débuts sur les planches dans deux pièces au Théâtre de l'Atelier, Médée de Jean Anouilh et Zamore de Georges Neveux dans des mises en scène d'André Barsacq.
Le 4 décembre 1953, il épouse une danseuse, Elodie Constantin, avec qui il aura trois enfants : Patricia (1958 décédée dans un incendie en 1994), Florence (1960) et Paul (1963). Jean-Paul Belmondo et Élodie divorcent en 1966.
Il débute sa carrière cinématographique dans un petit rôle : Sois belle et tais-toi (1957). 1960 est l'année qui lui fait connaître son premier grand rôle dans A bout de souffle de Jean-Luc Godard : il devient alors une figure marquante de la Nouvelle Vague. Il joue également aux côtés de Lino Ventura dans Classe tous risques de Claude Sautet. Il connaît un grand succès populaire avec L'homme de Rio (1964), aux côtés de Françoise Dorléac (sœur de Catherine Deneuve et décédée le 26 juin 1967), puis joue aux côtés d'Anna Karina dans Pierrot le fou (1965), œuvre mythique de Jean-Luc Godard.
En 1987, près de 30 ans après avoir quitté les planches, il remonte sur une scène de théâtre pour le plus grand bonheur du public dans "Kean".
Fin novembre 1999, Jean-Paul Belmondo est hospitalisé à Brest à l’hôpital de La Cavale blanche, après avoir fait un malaise pendant une représentation théâtrale de "Frederick ou le Boulevard du Crime". En 2001, âgé de 68 ans, il est héliporté d'urgence à l'hôpital Falconaja de Bastia à 16h00 mercredi 8 août en Corse à la suite d'un accident vasculaire cérébral. Il s'y trouvait en vacances, chez son ami Guy Bedos à Lumio, près de Calvi. Bien que son état soit jugé sérieux, il est transféré dans la soirée vers un hôpital parisien, Saint-Joseph.
Le 29 décembre 2002 Jean-Paul Belmondo épouse à Paris sa compagne Natty à la mairie du 6e arrondissement. Natty est une ancienne coco-girl de Stéphane Collaro qu'il a rencontrée en 1989 et qui partage sa vie depuis 13 ans. Michel Drucker est l'un des témoins de ce mariage. Parmi les invités, on peut citer : Claude Lelouch, Francis Huster, Bernard-Henri Lévy, Robert Hossein, Jean Rochefort, Jean-Claude Brialy et Jean-Pierre Marielle. Mercredi 13 août 2003, à 70 ans, Jean-Paul Belmondo est père pour la quatrième fois d'une petite fille, Stella.
En avril 2007, il est promu Commandeur de la Légion d'honneur.
Il a retrouvé en janvier 2008, après sept ans d'absence, les plateaux de cinéma sous la direction de Francis Huster pour une nouvelle version de Umberto D. de Vittorio de Sica: Un homme et son chien. Le film s'est terminé le 20 mars 2008. Actuellement en cours de montage, la date de sa sortie reste encore inconnue.
Belmondo Super-flic
Parmi tous les genres que Jean-Paul Belmondo a touché de près ou de loin, il y eut le film noir, le thriller, et bien évidemment le polar dans le plus pur style Super flic. Ce dernier lui servait d'écrin pour incarner les flics sans peur et sans reproche, à la fois élégants, cools, efficaces et invincibles. Cette recette, avec ses hauts et ses bas, lui donna l'occasion à cinq reprises d'en altérer le personnage au fur et à mesure.
Peur sur la ville (1975 - Henri Verneuil) : Premier et meilleur polar musclé tourné par Belmondo, ce superbe film d'action réalisé par Henri Verneuil relança largement le genre dans les années 1970. A la fois peinture brillante d'un Paris magnifiquement photographié et film policier bourré de péripéties et de réplique cultes, Peur sur la ville demeure un grand classique. Surfant sur la mode américaine du début des seventies, et notamment par rapport aux Dirty Harry (avec Clint Eastwood) qu'il égale sans problème, ce millésime se déguste sans modération. Très grand succès public, le film propose également certaines cascades anthologiques : les 20 minutes centrales du film, des toits de Paris au métro aérien, sont de ce point de vue un tour de force particulièrement audacieux, et où Belmondo exécute toutes ses cascades lui-même, comme à son habitude. Le style Verneuil brille par son savoir-faire, l'homme signant ici une totale réussite, l'un de ses meilleurs films, à ranger aux côtés de I comme Icare et Le corps de mon ennemi.
L'alpagueur (1976 - Philippe Labro) : Si Labro n'a pas réalisé beaucoup de films, il serait néanmoins judicieux de lui rendre hommage et de revoir son cinéma à la hausse. L'héritier reste son meilleur métrage (efficace et carré, possédant un montage d'une maîtrise absolue) et Le hasard et la violence impressionne toujours. L'alpagueur souffre, selon certains, d'un flagrant manque de rythme et d'enthousiasme. Au contraire, ce polar froid mi-urbain mi-rural tire sa principale force de ces faiblesses : manque de rythme concentrant la tension, tirant parfois vers le formalisme merveilleux d'un Melville (certains plans rappellent l'immense chef-d'oeuvre qu'est Le cercle rouge). Belmondo au sommet de sa forme et dialogues réduits à leur plus simple utilité, épuration du style, montage percutant... Ce film est une vraie réussite à redécouvrir, avec en bonus un Bruno Cremer excellent face à un Bébèl parfait de sobriété.
Flic ou voyou (1979 - Georges Lautner) : Première rencontre Belmondo-Lautner, et la meilleure, incontestablement ! Farce policière d'une excellente maîtrise, très drôle et très rythmée, menée par un Belmondo au sommet de sa gloire et qui entamait avec ce film une incroyable série de succès (avec surtout Le professionnel, L'as des as et Le marginal qui vont tous les trois frôler ou dépasser les 5 millions d'entrées). Burlesque mais pas trop, bénéficiant de quelques péripéties bien montées et de dialogues de Michel Audiard toujours aussi formidables, Flic ou voyou est un divertissement haut de gamme, ultra-populaire et dont le temps et les multi-rediffusions n'en ont aucunement fané les incontestables qualités. A la redoutable efficacité de Peur sur la ville et au froid glacial dans sa mise en scène de L'alpagueur, ce super polar oppose la franche rigolade et le bien être général. Cool attitude et mots aussi percutants que son 357 Magnum (6 pouces) sont de rigueur pour Belmondo et sa troupe de bons camarades que l'on retrouve encore et toujours avec grand plaisir.
Le solitaire (1987 - Jacques Deray) : Belmondo sobre, Deray aussi dans sa mise en scène... Très peu d'action, intrigue bateau mais agréable. Le polar de trop pour celui que les français surnomment affectueusement Bébèl. Le principal défaut du film est d'être terne et sans grande ambition. Ni vraiment mauvais, ni réellement bon, Le solitaire est correct et propre, sans plus. Les résultats en salles seront sans appel, hissant péniblement le film juste en-dessous de la barre du million d'entrée. Heureusement, Claude Lelouch offrira un dernier grand succès à Jean-Paul l'année suivante avec le très émouvant Itinéraire d'un enfant gâté. Pour l'heure, ce polar fonctionne (en mode mineur bien sûr) et permet à l'acteur de jouer une dernière fois les Super-flics avec classe et truculence (même si là encore l'effet est assez terne). Reste un précurseur des séries TV comme Navarro, Julie Lescaut ou Commissaire Moulin, pour le style "téléfilmique" de l'image, sa photographie très neutre et ses seconds rôles plus ou moins transparents. Une réussite relative, en demi-teinte, bien que soignée
Filmographie
cteurs et actrices
Cinéma
1956 :
Molière court-métrage de Norbert Tildian : La Merluche
1957 :
À pied, à cheval et en voiture de Maurice Delbez : Venin
Les copains du dimanche d'Henri Aisner : Trebois (diffusé à la TV en 1967)
1958 :
Sois belle et tais-toi de Marc Allégret : Pierrot
Les Tricheurs de Marcel Carné : Lou
Un drôle de dimanche de Marc Allégret : Patrick
1959 :
Mademoiselle ange de Geza Radvanyi : Michel Barrot
Charlotte et son jules court-métrage de Jean-Luc Godard : Jean (sorti en 1961)
A double tour de Claude Chabrol : Laszlo Kovacs
1960 :
A bout de souffle de Jean-Luc Godard : Michel Poiccard alias Laszlo Kovacs
Classe tous risques de Claude Sautet : Eric Stark
Moderato Cantabile de Peter Brook : Chauvin
La Française et l'amour (sketch - L'adultère) d'Henri Verneuil : Gilles
Les Distractions de Jacques Dupont : Paul Frapier
La Viaccia - (Le mauvais chemin) de Mauro Bolognini : Amerigo
La Ciociara - (La paysanne aux pieds nus) de Vittorio de Sica : Michele de Libero
1961 :
La Novice d'Alberto Lattuada : Giuliano Verdi
Léon Morin, prêtre de Jean-Pierre Melville : Léon Morin
Une femme est une femme de Jean-Luc Godard : Alfred Lubitsch
Les Amours célèbres (sketch Lauzun) de Michel Boisrond : Lauzun
Chasse aux vedettes "court-métrage" de Camille Chatelot : apparition
Riviera-Story de Wolfgang Becker
Un nommé La Rocca de Jean Becker : Roberto La Rocca
1962 :
Cartouche de Philippe de Broca : Louis-Dominique Bourguignon, dit Cartouche
Un singe en hiver d'Henri Verneuil : Gabriel Fouquet
Un cœur gros comme ça documentaire de François Reichenbach : lui-même
1963 :
Le Doulos de Jean-Pierre Melville : Silien
La mer à boire (Mare Matto) de Renato Castellani : Il Livornese
Peau de banane de Marcel Ophüls : Michel
Dragées au poivre de Jacques Baratier : Raymond
L'Aîné des Ferchaux de Jean-Pierre Melville : Michel Maudet
Le jour le plus court de Sergio Corbucci : Erede Siciliano
1964 :
Les Don Juan de la Côte d'Azur de Vittorio Sala : lui-même (non crédité)
L'homme de Rio de Philippe de Broca : Adrien Dufourquet
Cent mille dollars au soleil d'Henri Verneuil : Rocco
Echappement libre de Jean Becker : David Ladislas
La Chasse à l'homme d'Edouard Molinaro : Fernand
Week-end à Zuydcoote d'Henri Verneuil : Julien Maillat
1965 :
Jean-Paul Belmondo (court-métrage documentaire) de Claude Lelouch
Par un beau matin d'été de Jacques Deray : Francis
Pierrot le fou de Jean-Luc Godard : Ferdinand Griffon, dit "Pierrot"
Les Tribulations d'un Chinois en Chine de Philippe de Broca : Arthur Lempereur
1966 :
Tendre Voyou de Jean Becker : Tony Maréchal
La Bande à Bebel court-métrage documentaire de Charles Gérard : lui-même
Paris brûle-t-il? de René Clément : Pierrelot - Yvon Morandat
Le Démoniaque de René Gainville : lui-même (non crédité)
1967 :
Casino Royale (sketch) de John Huston : le légionnaire français
Portrait de Belmondo - court métrage, documentaire - de Charles Gérard - Lui même
Le Voleur de Louis Malle : Georges Randal
1968 :
Ho ! de Robert Enrico : François Holin, dit "Ho"
1969 :
Le Cerveau de Gérard Oury : Arthur Lespinasse
La Sirène du Mississippi de François Truffaut : Louis Mahé
Dieu a choisi Paris documentaire de Gilbert Prouteau et Artuys : lui-même
Un homme qui me plaît de Claude Lelouch : Henri
1970 :
Borsalino de Jacques Deray : François Capella
1971 :
Les Mariés de l'an II de Jean-Paul Rappeneau : Nicolas Philibert
Le Casse d'Henri Verneuil : Azad
1972 :
Docteur Popaul de Claude Chabrol : le docteur Paul Simay
La Scoumoune de José Giovanni : Roberto Borgo
1973 :
L'Héritier de Philippe Labro : Bart Cordell
Le Magnifique de Philippe de Broca : Bob Saint-Clar / François Merlin
1974 :
Stavisky... (L'empire d'Alexandre) d'Alain Resnais : Serge Alexandre Stavisky
T'es fou Marcel... court-métrage de Jean Rochefort : lui-même
1975 :
Peur sur la ville d'Henri Verneuil : le commissaire Jean Letellier
L'Incorrigible de Philippe de Broca : Victor Vauthier
1976 :
L'Alpagueur de Philippe Labro : Roger Pilard, dit "L'Alpagueur"
Le Corps de mon ennemi d'Henri Verneuil : François Leclercq
1977 :
L'Animal de Claude Zidi : Mike Gaucher et Bruno Ferrari
1979 :
Flic ou voyou de Georges Lautner : "Antonio Cerruti", alias le commissaire Stanislas Borrowitz
1980 :
Le Guignolo de Georges Lautner : Alexandre Dupré
Balles de débutants - court métrage - de Adolphe Drey - Lui même
1981 :
Le Professionnel de Georges Lautner : Josselin Beaumont dit "Joss"
1982 :
L'As des as de Gérard Oury : Jo Cavalier
1983 :
Le Marginal de Jacques Deray : le commissaire Philippe Jordan
1984 :
Les Morfalous d'Henri Verneuil : le sergent Pierre Augagneur
Joyeuses Pâques de Georges Lautner : Stéphane Margelle
1985 :
Hold-up d'Alexandre Arcady : Grimm
1986 :
Les pros documentaire de Florence Moncorgé-Gabin : lui-même
1987 :
Le Solitaire de Jacques Deray : le commissaire Stan Jalard
1988 :
Itinéraire d'un enfant gâté de Claude Lelouch : Sam Lion
1992 :
L'Inconnu dans la maison de Georges Lautner : Jacques Loursat
1995 :
Les Cent et une nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda : Professeur Bébel
Les Misérables de Claude Lelouch : Henri Fortin / Jean Valjean
1996 :
Désiré de Bernard Murat : Désiré
1998 :
Une chance sur deux de Patrice Leconte : Léo Brassac
1999 :
Peut-être de Cédric Klapisch : Ako
2000 :
Les Acteurs de Bertrand Blier : Jean-Paul Belmondo
Amazone de Philippe de Broca : Edouard
2008 :
Un Homme et son chien de Francis Huster : Charles
Télévision
1959 : les Trois Mousquetaires, réalisé par Claude Barma est un téléfilm (dramatique selon les termes de l'époque). Cette adaptation pour la TV a été
conçue d'après la pièce de théâtre d'Alexandre Dumas et non pas d'après le roman.
Distribution :
Jean-Paul Belmondo : D'Artagnan,
Gaby Sylvia: Milady De Winter,
Jean Chevrier : Athos,
Hubert Noël : Aramis,
Daniel Sorano : Porthos,
Marie-Blanche Vergne : Constance Bonacieux,
Robert Hirsch : Planchet,
Pierre Asso : Richelieu,
Claude Nollier : Anne d'Autriche,
Georges Lannes : Louis XIII,
Bernard Dhéran : duc de Buckingham,
Georges Descrières : Lord De Winter,
Michel Galabru : Bonacieux,
Edmond Beauchamp : M. de Tréville,
Jean-Paul Thomas : John Felton,
Simone Vannier : Ketty,
Pierre Gallon : Tassac,
Jacques Ciron : Bois Tracy,
Pierre Mirat : colporteur,
Jacques Harden : capitaine,
Gaston Rey : Van Die Pen Beck,
Margo Lion : mère supérieure,
Hélène Roussel : Jeanne,
Marianne Girard : Mme de Lannoy,
Jean Duplan : M. de La Porte,
Bernard Cara : Webster,
Henri Piégay : Cahusac,
Jean-Claude Arnaud : secrétaire,
Jean-Daniel Ehrmann : secrétaire,
Bernard Musson : greffier,
Mario Pilar : exempt,
Bruno Balp : aubergiste,
Jean Barrez : homme en noir,
Pierre Réal : sentinelle,
Georges Aubert : huissier,
René Alone : bourreau,
Geneviève Bray : religieuse.
1990 : Kean de Pierre Badel, sur une mise en scène de Robert Hossein - Kean
2001 : l'Aîné des Ferchaux, téléfilm de Bernard Stora, dans lequel Belmondo endosse, 38 ans après l'adaptation cinématographique de 1963, le rôle autrefois dévolu à Charles Vanel, celui du jeune faire-valoir étant cette fois tenu par Samy Naceri.
Documentaire [modifier]
1990 : Ne m'oubliez pas : Hommage à Bernard Blier - documentaire - de Mathias Ledoux - Lui même, témoignages
1996 : Belmondo, le magnifique "documentaire" de Patrick Chammings : apparition
2001 : Gabin, gueule d'amour - documentaire - de Michel Viotte - Lui même, témoignages
Images d'archives
2003 : Innocents - The Dreamers de Bernardo Bertolucci : non crédité
Théâtrographie
Théâtre
Par catégories
Personnalités
Acteur - Actrice
Metteur en scène
Dramaturge
Voir aussi
Pièce - Salle
Histoire - Genres
Festivals - Récompenses
Techniques
Le portail du théâtre
Le projet théâtre
1952 : Gloriana sera vengée de Cyril Tourneur au Théâtre de la Huchette
1953 : Médée de Jean Anouilh au Théâtre de l'Atelier
1953 : Zamore de Georges Neveux au Théâtre de l'Atelier
1953 : La Reine blanche de Pierre Barillet et Jean-Pierre Grédy au Théâtre Michel
1955 : Fantasio d'Alfred de Musset à la Comédie-Française
1955 : L'Annonce faite à Marie de Paul Claudel à la Comédie-Française
1956 : L'Hôtel du libre échange de Georges Feydeau avec la compagnie Grenier-Hussenot
1956 : César et Cléopâtre d'après George Bernard Shaw au Théâtre Sarah Bernhardt
1957 : La Mégère apprivoisée de William Shakespeare au Théâtre de l'Athénée-Louis-Jouvet
1958 : Oscar de Claude Magnier
1959 : Trésor party de Bernard Régnier au Théâtre La Bruyère
1987 : Kean de Jean-Paul Sartre d'après Alexandre Dumas, mise en scène Robert Hossein
1990 : Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, mise en scène Robert Hossein
1993 : Tailleur pour dames de Georges Feydeau, mise en scène Bernard Murat
1996 : La Puce à l'oreille de Georges Feydeau, mise en scène Bernard Murat au Théâtre des Variétés
1998 : Frédéric ou le boulevard du crime d'Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène Bernard Murat au Théâtre Marigny